Le journaliste Claude Chollet a publié dans l'OJIM (Observatoire du journalisme; internet et média), une analyse de la publicité en France, qui souligne la présence systématique des personnes « non-blanches »; donc non européenne, dans ces spots.
Il y a un autre aspect qui me paraît digne d'attention, la présence régulière de la gesticulation homosexuelle, lesbienne de préférence. Pas seulement dans la pub, mais aussi dans des films récents. Par exemple Lupin, avec le comédien noir de peau Sy, et la série Chronique de Bridgerton, ou des nobles anglais deviennent par miracle noir de peau aussi. Totalement invraisemblable, pour ce dernier cas. Pendant qu'en France la consommation des drogues devienne acceptable, même recommandé, sous prétexte de traitement des angoisses et sous la forme de « drogues adoucies ».
C'est
une idéologie qui s'exprime ainsi. Les fabricants, les porteurs et les
diffuseurs de cette idéologie utilisent un identifiant clair, le mot
communauté. Il parle de la « communauté » homosexuelle, lgbt+ etc. Ils
ignorent, ou font semblant d'ignorer, les différentes pratiques
sexuelles à l'intérieur de ces « communautés », dont les médecins ont
proposé la description depuis longtemps. Ils ignorent donc les
différences pour créer des fausses communautés.
La
tolérance sociale et juridique des hétérosexuelles envers ces
comportements homosexuelles est un acquis social que probablement
personne ne conteste plus en Europe occidentale.
En
tant qu'ex-citoyen d'un pays communiste et totalitaire, qui a subi le
lavage de cerveau depuis l'age de sept ans, je m'inquiète de la manière
idéologique subreptice utilisée pour imposer une fausse image de la
société humaine, par des comportements minoritaires, en trains d'être
transformées en normes. Et proposée comme modèles, par le biais de la
publicité et de l'art.
Mais qui conçoit d'une manière si cohérente et constante la fabrication
de la publicité, des films sur Netflix ou les nobles anglais du XVIIIe
siècle deviennent noirs, ou un très connu personnage de littérature
policière française est interprété par un comédien français « noir de
peau » ?
Dans
les reportages sur l'activité de la police française actuelle, la
présence de « noirs » ou des « jaunes » parmi les fonctionnaires ne
choque personne, elle est une réalité démographique, mais l'anachronisme
dans l'adaptation cinématographique est incongrue. Elle ne peut pas
être neutre.
Ce phénomène participe a la diffusion d\une idéologie de la confusion, de l'uniformisation, de l'entropie, des meltingpots, de négation de l'identité nationale. Mondialisme ? Terme trop vague. La lecture des analyses de Pierre Hillard peut éventuellement d'activer nos cerveaux en train de devenir lisses.
Dan Culcer
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