Rescrierea generală a istoriei unor națiuni continuă prin decontextualizare și prin impunerea «gândirii» politice corecte. Destructurarea națiunilor europene continuă. Cine sunt inițiatorii și beneficiarii acestei ideologii? Autorii acestui ghid (evrei după nume) reprezintă oare ideologia unei comunități din cele mai rasiste și închise? Sau dimpotrivă, după principiul fitilului aprins la ambele capete, scrierea lor este una antirasistă în numele unei ideologii transetnice, globaliste, cosmopolite, internaționaliste, poate chiar comuniste? O dilemă? Nu. După informațiile găsite pe Internet, din sursele autentice produse chiar de autori, ei sunt parte dintr-o mișcare de refondare a stângii în Franța.
«Ensemble ! C’est parti ! Depuis des mois, le processus de fusion est engagé et les 23 et 24 novembre 2013, lors d’Assises nationales, il s’est concrétisé. Quatre composantes du Front de Gauche (La Fédération pour une alternative sociale et écologique[i], les Alternatifs[ii], Convergences et Alternative [iii], la Gauche Anticapitaliste [iv]) ainsi que des militant.e.s de la Gauche Unitaire[v], des animateurs issus du mouvement syndical, altermondialiste, de la lutte LGBTI, et de collectifs crées ensembles localement, se sont retrouvés pour fonder un nouveau mouvement politique commun dans le Front de Gauche, utile à la construction d’une alternative politique au capitalisme et au service de tous les combats émancipateurs, écologistes, féministes, altermondialistes.
L’assemblée a validé la proposition de nom commun « Ensemble ! Mouvement pour une alternative à gauche, écologiste et solidaire ».
Sursa https://www.ensemble-fdg.org/content/do%C3%B9-venons-nous
Valorile sociale ale stângii sunt și ale mele, doar că nu cred în pseudo-egalitarismul universalist ci în mișcările sociale care reformează și nu revoluționează. Revoluțiile, toate, s-au dovedit neconstructive, distrugătoare și conțin o înlocuire a unor privilegiați cu alții. Departe de teorii și idelurile utopice și violente ale foștilor troțkiști.
Guide du Paris colonial : l’histoire de France repeinte en noir au profit du totalitarisme
14 décembre 2017 17 h 00 min·
Deux apparatchiks viennent de publier un Guide du Paris colonial et demandent de débaptiser de nombreux lieux de la capitale qui célèbrent indûment des criminels, selon eux. Leur objectif : inciter une France repeinte en noir par leurs soins à faire repentance pour son histoire. C’est le totalitarisme au coin de la rue. Après les échauffourées de Charlottesville, les États-Unis saisis de frénésie ont déboulonné par dizaines des statues de généraux sudistes, personnalités esclavagistes et autres figures historiques qui ne conviennent plus au politiquement correct dominant. Sur ce modèle, le CRAN, conseil représentatif des associations noires en France (qui représente deux douzaines d’agitateurs), avait demandé que le nom de Colbert, le grand ministre de Louis XIV, ne soit plus honoré et devienne une figure négative de l’histoire de France. Suivant cet exemple, Patrick Silberstein et Didier Epsztajn, deux militants « décoloniaux » ont écrit un Guide du Paris colonial dont l’ambition est de donner une vue « anticolonialiste de l’histoire de France ». A cette fin, sur les cinq mille rues, villas, squares, avenues, boulevards et places que compte Paris, ils en ont répertorié 200 qui font référence au fait colonial pour les montrer du doigt aux Français, inciter ceux-ci à la repentance et demander que leur nom soit changé.
L’histoire de France repeinte en noir, Paris et le fait colonial avec
Sont particulièrement visés le maréchal Bugeaud, artisan de la seconde phase de la conquête de l’Algérie, mais aussi Napoléon (pour l’expédition d’Égypte), Napoléon III, Colbert, encore (pour le code noir), Galieni, Faidherbe, Lyautey, Paul Bert et tant d’autres. Pauvre Galieni : à cause de Madagascar, ces impitoyables policiers de l’histoire ne lui passeront pas les taxis de la Marne. Et Lyautey ! Nos apprentis manipulateurs d’histoire devraient peut-être demander aux Marocains ce qu’ils en pensent avant de le décrire en colonial nocif. Et Paul Bert ! Combien de gymnases et de lycées en France va-t-on désespérer en France ? C’est une des gloires de l’Éducation nationale laïque et de gauche : lui en veut-on d’avoir, comme son patron Jules Ferry, professé que « les races supérieures » avaient le « devoir » d’enseigner les inférieures ? Est-ce vraiment à des historiens que l’on doit apprendre à ne pas se vautrer dans l’anachronisme et à tenir compte du contexte quand on prétend juger les actes des hommes d’autres époques ?
Petit guide du totalitarisme au coin de la rue
On espère que l’initiative de ces braves gens sera suivi d’autres semblables. Le guide du Paris machiste s’impose. Charlemagne et Louis XV devraient être « bannis » au plus tôt des rues parisiennes. Leur façon d’être avec les femmes était tout simplement scandaleuse. Ne parlons même pas de Louis XIV. Il faudra d’ailleurs étendre le mouvement à tous les mauvais exemples dont on a fait des gloires nationales. Le général De Gaulle fumait des gitanes sur des photos historiques, pire qu’Humphrey Bogart. Dans le même esprit, on rasera le muséum d’histoire naturelle, au nom de la fierté du vivant. Le totalitarisme marchera ainsi sur les pas de grands précurseurs. Staline effaçait on le sait les gens qui ne méritaient pas de passer à la postérité sur les photographies, et, des siècles auparavant, les pharaons martelaient les cartouches de leurs prédécesseurs incorrects. Cela s’appelle la damnation memoriae. Question : quelle mémoire entend-on condamner aujourd’hui, quel visage reléguer dans l’éternel oubli ? Réponse : celui de la France, bien sûr.
Pauline Mille
«Ensemble ! C’est parti ! Depuis des mois, le processus de fusion est engagé et les 23 et 24 novembre 2013, lors d’Assises nationales, il s’est concrétisé. Quatre composantes du Front de Gauche (La Fédération pour une alternative sociale et écologique[i], les Alternatifs[ii], Convergences et Alternative [iii], la Gauche Anticapitaliste [iv]) ainsi que des militant.e.s de la Gauche Unitaire[v], des animateurs issus du mouvement syndical, altermondialiste, de la lutte LGBTI, et de collectifs crées ensembles localement, se sont retrouvés pour fonder un nouveau mouvement politique commun dans le Front de Gauche, utile à la construction d’une alternative politique au capitalisme et au service de tous les combats émancipateurs, écologistes, féministes, altermondialistes.
L’assemblée a validé la proposition de nom commun « Ensemble ! Mouvement pour une alternative à gauche, écologiste et solidaire ».
Sursa https://www.ensemble-fdg.org/content/do%C3%B9-venons-nous
Valorile sociale ale stângii sunt și ale mele, doar că nu cred în pseudo-egalitarismul universalist ci în mișcările sociale care reformează și nu revoluționează. Revoluțiile, toate, s-au dovedit neconstructive, distrugătoare și conțin o înlocuire a unor privilegiați cu alții. Departe de teorii și idelurile utopice și violente ale foștilor troțkiști.
Guide du Paris colonial : l’histoire de France repeinte en noir au profit du totalitarisme
14 décembre 2017 17 h 00 min·
Deux apparatchiks viennent de publier un Guide du Paris colonial et demandent de débaptiser de nombreux lieux de la capitale qui célèbrent indûment des criminels, selon eux. Leur objectif : inciter une France repeinte en noir par leurs soins à faire repentance pour son histoire. C’est le totalitarisme au coin de la rue. Après les échauffourées de Charlottesville, les États-Unis saisis de frénésie ont déboulonné par dizaines des statues de généraux sudistes, personnalités esclavagistes et autres figures historiques qui ne conviennent plus au politiquement correct dominant. Sur ce modèle, le CRAN, conseil représentatif des associations noires en France (qui représente deux douzaines d’agitateurs), avait demandé que le nom de Colbert, le grand ministre de Louis XIV, ne soit plus honoré et devienne une figure négative de l’histoire de France. Suivant cet exemple, Patrick Silberstein et Didier Epsztajn, deux militants « décoloniaux » ont écrit un Guide du Paris colonial dont l’ambition est de donner une vue « anticolonialiste de l’histoire de France ». A cette fin, sur les cinq mille rues, villas, squares, avenues, boulevards et places que compte Paris, ils en ont répertorié 200 qui font référence au fait colonial pour les montrer du doigt aux Français, inciter ceux-ci à la repentance et demander que leur nom soit changé.
L’histoire de France repeinte en noir, Paris et le fait colonial avec
Sont particulièrement visés le maréchal Bugeaud, artisan de la seconde phase de la conquête de l’Algérie, mais aussi Napoléon (pour l’expédition d’Égypte), Napoléon III, Colbert, encore (pour le code noir), Galieni, Faidherbe, Lyautey, Paul Bert et tant d’autres. Pauvre Galieni : à cause de Madagascar, ces impitoyables policiers de l’histoire ne lui passeront pas les taxis de la Marne. Et Lyautey ! Nos apprentis manipulateurs d’histoire devraient peut-être demander aux Marocains ce qu’ils en pensent avant de le décrire en colonial nocif. Et Paul Bert ! Combien de gymnases et de lycées en France va-t-on désespérer en France ? C’est une des gloires de l’Éducation nationale laïque et de gauche : lui en veut-on d’avoir, comme son patron Jules Ferry, professé que « les races supérieures » avaient le « devoir » d’enseigner les inférieures ? Est-ce vraiment à des historiens que l’on doit apprendre à ne pas se vautrer dans l’anachronisme et à tenir compte du contexte quand on prétend juger les actes des hommes d’autres époques ?
Petit guide du totalitarisme au coin de la rue
On espère que l’initiative de ces braves gens sera suivi d’autres semblables. Le guide du Paris machiste s’impose. Charlemagne et Louis XV devraient être « bannis » au plus tôt des rues parisiennes. Leur façon d’être avec les femmes était tout simplement scandaleuse. Ne parlons même pas de Louis XIV. Il faudra d’ailleurs étendre le mouvement à tous les mauvais exemples dont on a fait des gloires nationales. Le général De Gaulle fumait des gitanes sur des photos historiques, pire qu’Humphrey Bogart. Dans le même esprit, on rasera le muséum d’histoire naturelle, au nom de la fierté du vivant. Le totalitarisme marchera ainsi sur les pas de grands précurseurs. Staline effaçait on le sait les gens qui ne méritaient pas de passer à la postérité sur les photographies, et, des siècles auparavant, les pharaons martelaient les cartouches de leurs prédécesseurs incorrects. Cela s’appelle la damnation memoriae. Question : quelle mémoire entend-on condamner aujourd’hui, quel visage reléguer dans l’éternel oubli ? Réponse : celui de la France, bien sûr.
Pauline Mille
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